

En bas à gauche, une trace d'urbanité (peu importe qu'elle soit ou non aimable)
dans ce qui semble être un bois. Apparences trompeuses...

Il n'y a plus de présence du soleil couchant.
Le bâtiment du bas est davantage camouflé.
Le dialogue domine entre les groupes d'arbres. Débattent-ils du gui?

Le pigeon est perché là où résonnent d'ordinaire les cris des perruches effrontées
qu'excitent le jacassement des pies criardes et vindicatives.
(Il n'y a qu'une légère teinte de bleu.)
Presque à la nuit, tous les pigeons sont gris.
(Mais, dit le volatile, l'impalpable différence
fait que, cette fois, c'est le photographe qui est pigeonné !)