samedi 17 octobre 2009

Instantanés strasbourgeois

D'un déplacement éclair à Strasbourg, quelques instantanés d'une ville que je n'avais pas vue depuis longtemps et qui m'a laissé, malgré la brièveté du séjour, l'impression d'une cité agréable au réseau de tramways très pratique.

La gare de Strasbourg, conçue sur le modèle impérial
allemand d'après 1871,
est masquée par une bulle externe.

Le bâti de la gare apparaît... en majesté,
en offrant aux voyageurs
une salle des pas perdus abritée.

Le tram s'inscrit bien
dans le paysage urbain.
strasbourgeois.


À gauche, le Parlement européen.
À droite, la Cour européenne des droits de l'homme
devant laquelle s'arrête le tramway.

Et le tramway repart.

Bœuf jazz à Sarcelles


C'est devenu une tradition. Le troisième jeudi du mois a lieu un bœuf jazz à Sarcelles, généralement à la salle Malraux, à demi fermée par le rideau ce qui donne à l'ensemble un aspect club convivial que rehausse la présence d'un petit coin restauration — assuré jeudi dernier par la maison de quartier Valéry-Watteau.

On connaît le principe : à partir d'une première équipe invitée (où l'on souvent les piliers de l'atelier jazz du conservatoire), les participants peuvent librement jouer ou s'insérer dans la formation.

Pour ce premier bœuf, le maître d'œuvre était Éric Breton, professeur de saxophone au conservatoire mais qui, par exemple, a été également l'accompagnateur de Sara Lazarus. Malheureusement, la batterie m'a lâché : pas celle de l'orchestre, mais celle de l'appareil. Du coup, Éric Breton ne figure pas dans les clichés (ne jamais confondre, surtout en matière de jazz, clichés et standards), mais on peut l'apercevoir sur cette page...

Le premier bœuf de l'année a été présenté par Pierre Deville, dont la fougue, la volonté d'ouverture à tous les publics comme à toutes les musiques ne diminuent en rien la volonté d'exigence au point d'avoir été à l'initiative d'un cycle commémorant la naissance d'Olivier Messiaen conduisant y compris à son écoute préparée en maison de quartier. (Petit hommage en passant d'un blogueur qui vécut, comme choriste, le bonheur d'être dirigé par Pierre dans le Requiem de Mozart, et, comme intéressé à divers titres par ce qui a trait à la musique dans et autour de l'école, a apprécié comme il se devait les collaborations qu'elles permirent.)

Le bœuf a son public de fidèles et d'habitués. Ici, Nadeen Delarue (à droite) qui, en sa double qualité de conseillère municipale déléguée et de directrice de la MJC est « madame Culture » à Sarcelles, une culture ouverte, avec la plénitude de sa dimension d'outil et de moyen d'éducation populaire, et un souci constant de veiller au développement du spectacle vivant.


Mais, comme disait Verlaine, de la musique avant toute chose.
Aussi bien voici quelques photos des musiciens,
avec le regret de n'en avoir pu emmagasiner davantage...
Ce sera pour une prochaine fois !
(Pour la musique, écoutez un standard parallèlement !)


samedi 3 octobre 2009

Vu des Cholettes

Temps humide et froid. Saisies depuis la poste de Sarcelles-Cholettes, trois tours.

L'avenue du 8-mai-1945 sépare la première des deux autres, alors qu'on pourrait penser qu'elles appartiennent à la même dalle. C'est moins chaleureux que d'autres vues de Sarcelles, mais, pour le photographe amateur, cela valait le coup d'œil.




vendredi 2 octobre 2009

Expressions

De temps à autre, je prends un café avec ma fille aînée... qui, pour une fois, s'est laissé photographier.