D'abord, c'est le regard sur un pommier en fleurs qui déborde d'une maison particulière. Le spectacle est éphémère: raison de plus pour en profiter.
Ce sont ensuite les champs de colza. On peut dire le colza en effet tant on a l'impression, quand on les voit au long des routes, que ce sont de grandes étendues uniformément jaunes. En s'approchant, ce sont les fleurs jaunes que l'on remarque, mais pas seulement. Point n'est besoin d'un appareil sophistiqué: il suffit d'un regard plus attentif, peut-être, que d'habitude, plus proche aussi. Regardons donc de proche en proche...
Et puis, ici et là, ce sont les formes parfois étranges qu'on peut distinguer de plus près, celles qu'offrent les feuilles en formation ou les bourgeons: formes tarabiscotées, fragments de tiges aux enroulements curieux...
Et, toujours, la beauté d'un simple pissenlit.
La première photo (pommier en fleurs) avec un Fuji X10, les autres avec un Canon EOS 50D monté avec l'objectif 70×300 mm mentionné dans l'article précédent.
