8 mai 2010, le bâtiment de l'ANCV (Agence nationale pour les chèques vacances) face à l'avenue du 8-mai-1945. Dans le soleil, le bâtiment d'en face se reflète. Jeux de lumières en plein jour... Ici des images fixes... qui sont animées là.
mardi 11 mai 2010
En métro, de Belleville à La Chapelle
Il y avait longtemps que je n'étais passé par là et, surtout, que je n'avais changé à Belleville, venant de la ligne 11 et empruntant la correspondance pour la ligne 2 (direction Dauphine, arrêt à La Chapelle et correspondance pour la gare du Nord).
La rame descendant de Mairie des Lilas
et se dirigeant vers Châtelet s'est arrêtée et vidée.
Une femme s'est arrêtée quelques instants
pour chercher quelque chose dans son sac...
et se dirigeant vers Châtelet s'est arrêtée et vidée.
Une femme s'est arrêtée quelques instants
pour chercher quelque chose dans son sac...
Une correspondance peu gaie...
À la station La Chapelle, il y a déjà quelque temps qu'on a retrouvé la vue du ciel. C'est la partie aérienne du métro. Sorties rapides, gens pressés : soit qu'on emprunte la sortie, soit qu'on prenne la correspondance, on ne s'y attarde jamais, et pourtant la vue a quelque charme.
Escaliers ramenant le voyageur de l'étrange canopée métropolitaine au statut habituel de personnage confiné au sous-sol, et c'est le sas les barrières où il convient de refaire passer son ticket ou de valider à nouveau son passe magnétique : c'est le nouveau check-point Charlie (démultiplié) qui marque la séparation entre ceux qui ne sont que métropolitains et les banlieusards repassant en zone SNCF (ou à tout le moins en zone RER s'ils sont usagers de la ligne B).
Le couloir est long. Je l'ai connu tout juste cimenté, infiniment lugubre. Il a été décoré. C'est frais et (relativement) joyeux. Ça ne durera donc pas...
Le couloir est passé, comme si ç'avait été un sas nécessaire. Et nous voilà enfin dans la gare souterraine où la SNCF a aménagé de nombreux espaces commerciaux. À cette heure tardive (il est près de 22 heures), ils sont fermés.
Un couple déambule.
Ils ont regardé la vitrine.
Ils prennent leur temps,
luxe possible quand on sait avoir du temps
pour prendre « son » train.
Ils ont regardé la vitrine.
Ils prennent leur temps,
luxe possible quand on sait avoir du temps
pour prendre « son » train.
Arrivé sur mon quai à 21h57... Arrivée du train à 22h21.
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