dimanche 18 novembre 2018

Parvis de Nanterre-Université sous la grisaille

16 novembre 2018, Nanterre. — La station RER «Nanterre Université» a une entrée directe vers la fac. Sitôt quittées les marches souterraines, elle débouche sur un parvis qui sert de lieu de passage et de transition. L'université Paris-Nanterre (Paris-X à sa création) est elle-même ouverte sur le quartier sans enceinte particulière. Ses voies sont protégées par des barrières, mais la transition du RER à un bâtiment est «naturelle». C'est en sortant que nous avons pris ces clichés de mondes qui cohabitent.

jeudi 15 novembre 2018

Papatella

On en mangerait, non? C'est l'effet de la recette que je suis actuellement pour faire de la pâte à tartiner maison, sans additifs ou huile de palme... et que mes (grands) enfants ont baptisée «Papatella».

samedi 6 octobre 2018

Étonnants artifices

Les feux d'artifice saisis par l'appareil photographique conservent une tout autre image que celle qui s'imprime sur nos rétines à ce merveilleux spectacle. Mais la saisie photographique offre d'autres occasions de s'émerveiller.
Toujours avec notre Canon G7X mark II, nous avons utilisé le programme «feu d'artifice» qui nous bride (JPG obligatoire), mais nous préserve de la torture mentale en automatisant le mode de prise de vue..


vendredi 21 septembre 2018

Ah! ces photos de vacances !

Ah ! ces photos de vacances ! Et les souvenirs, jadis, de ces interminables soirées diapos, où l'on payait chèrement un apéritif dinatoire en devant s'extasier sur cent vues commentées de manière barbante, au cadrage sans intérêt, à l'exposition imparfaite, à l'irritante répétition (Attendez d'avoir vu les cinq autres vues de ma femme sur la terrasse de l'hôtel, et vous jugerez de la splendeur du paysage!).
C
ette pratique sociale a disparu: l'exaltation, non pas de ce que l'on a saisi, mais du fait que soi l'ait saisie a cédé la place aux publications anarchiques sur les réseaux sociaux en privilégiant — cohérence ultime de la démarche — le selfie où le décor ne sert qu'à la mise en scène du moi. Et si, pourtant, on s'efforçait de sortir le genre de la banalité, de l'égoïste égotisme, en redonnant un peu de chair, de vie, de contenu à cette fabrique de souvenirs qui pouvait tenir de la (mauvaise) carte postale ou du narcissisme maquillé en autoportrait? C'est le pari du jour...

dimanche 8 juillet 2018

Canon Powershot G7X Mark II: prise en main

Dernière acquisition: le Canon G7X Mark II. Je cherchais un appareil offrant un certain niveau de qualité, mais suffisamment compact pour tenir dans la poche. Je n'ai donc pas opté pour le modèle «au-dessus», non pas parce qu'il était plus cher, mais parce qu'il était encombrant. Le manuel épais en petit format... n'est accessible qu'en PDF (un regret). Voici donc une sélection de premières prises de vues dans des situations variées...
 
Sarcelles-Flanades: vue du site propre du tramway (15/6/18)

Sarcelles-Flanades : reflets sur les vitres du siège de l'ANCV (15/6/18)

mercredi 30 mai 2018

Pluie d'orage (2)

Sarcelles-les-Eaux, 29 mai 2018, 23 heures. — De nouveau l'orage et la pluie, moins violente qu'il y a quelques jours. Mais c'est toujours l'occasion de prendre quelques photos, toujours de ma fenêtre.

vendredi 25 mai 2018

Après l'orage...

25 mai 2018. — Un orage violent s'est abattu sur Sarcelles. Le maréchal de Mac Mahon aurait pu répéter ce célèbre propos tenu lors des inondations de Bordeaux en 1875: «Que d'eau! que d'eau!» 

Ce sont des moments où le photographe peut observer les comportements humains, et d'abord ceux des tomobilistes: le prudent, celui qui se f...t des piétons qu'il couvre d'eau sans vergogne (mais avec sa voiture), le téméraire qui pense s'en tirer mieux en fonçant droit devant (les éclaboussures, dans ce cas, ne sont qu'un — désagréable — effet collatéral). 

Observation aussi, bien à l'abri de ma fenêtre, des piétons: parfois grognons (on les comprend: on vient de passer par là), plus souvent amusés, interloqués aussi en se demandant comment ils pourront passer sur des voies couvertes d'eau. J'ai vu aussi le bonheur d'un grand collégien de quatorze ou quinze ans retrouvant une joie simple d'enfant en sautant de gerbe en gerbe pour traverser l'avenue inondée.