Ça commence avec une chienne dont la face blanchie commence à trahir l'âge,
mais qui trotte toujours tranquillement.
mais qui trotte toujours tranquillement.
Et puis, c'est la finesse des ramures sur fond de brouillard dans la plaine...
Et puis, on s'en va regarder de plus près le charme des ramures,
leur finesse et leur netteté que rehausse (quel paradoxe !) un ciel trouble.
leur finesse et leur netteté que rehausse (quel paradoxe !) un ciel trouble.
On va même s'approcher plus près
pour mieux apprécier la beauté de formes encore plus proches,
beauté qu'on méconnaît souvent parce qu'on ne sait pas perdre de temps.
pour mieux apprécier la beauté de formes encore plus proches,
beauté qu'on méconnaît souvent parce qu'on ne sait pas perdre de temps.
Le photographe sait cependant reprendre du champ
et conclure avec cet échange de regard, de loin,
avec cet autre animal, lui aussi couvert en raison du froid,
mais dont la placidité sied parfaitement — allez savoir pourquoi —
avec l'atmosphère de ce temps si particulier.
et conclure avec cet échange de regard, de loin,
avec cet autre animal, lui aussi couvert en raison du froid,
mais dont la placidité sied parfaitement — allez savoir pourquoi —
avec l'atmosphère de ce temps si particulier.